Rien ne devrait opposer la biodiversité, qu’il faut évidemment protéger, et l’éolien, indispensable pour assurer un mix énergétique nécessairement décarboné. Les enfants d’Eole ne contribuent-ils pas à limiter le changement climatique en évitant déjà, certes avec leurs cousins d’Helios, l’émission de quelque 22 millions de tonnes de CO2 chaque année dans notre pays, participant ainsi de facto à la protection de la planète, de sa faune comme de sa flore et des bipèdes qui l’occupent ?